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Championnats de l'Océan Indien de Croche. Qui remportera le trophée par équipe ? - par Jeronimo le 19/11/2011 @ 16:16

Les 1ers Championnats de l'Océan Indien de Croche approchent. Le 22 janvier 2012 seront décernés les premiers titres internationaux de cette discipline endémique de la Réunion.
La Fédération Mauricienne de Lutte présentera deux équipes pour le trophée collectif :
- une de l'île Maurice,
- l'autre de l'île Rodrigues.
La Fédération Mauricienne de Judo constituera une troisième équipe.
Le Comité Régional de Lutte de la Réunion une quatrième (où l'on retrouvera des crocheurs, des grapplers, des lutteurs et peut-être des samboïstes).
Mais une cinquième équipe pourrait se joindre à la fête ... et créer la sensation. A suivre !

L’émergence des « arts martiaux mixtes » dans le monde et à la Réunion (2/4) - par Jeronimo le 19/11/2011 @ 12:52

Coup de pied dans l’ordre établi

Dans les années 1970, le monde occidental a soudainement (re)découvert que les sports de combat ne se limitaient pas à la boxe avec les poings. Il faut rendre hommage à un petit Sino-américain : l’acteur de cinéma Bruce Lee. Grâce à ses films très réalistes (Big Boss, 1971 ; La fureur de vaincre, 1972, La fureur du dragon, 1972 ; Opération dragon, 1973 ; Le jeu de la mort, 1973) et à son ouverture d’esprit (prendre ce qu’il y a de meilleur dans chaque art martial), il démontra que les coups de pieds et certaines saisies ou blocages pouvaient être plus efficaces que les seuls coups de poings.

Paradoxalement, cette démonstration spectaculaire ne profita pas directement au wing chun (son art martial de base) ni aux wushu en général (les arts martiaux chinois) mais plutôt au karaté (japonais) et au taekwondo (coréen) qui organisèrent respectivement leurs premiers championnats du monde dès 1970 (WKF) et 1973 (WTF) puis furent tous deux admis aux Jeux Mondiaux en 1981 ; le taekwondo devenant même sport officiel des Jeux Olympiques en 2000. Dans leur sillage, de nombreuses boxes peids-poings se développèrent internationalement : full-contact karaté, boxe française savate, kick-boxing, muay thaï, etc. Finalement, un tournoi annuel rassemblant les meilleurs poids lourds de toutes ces disciplines, le K1 Grand Prix, fut créé en 1993 par Kazuyoshi Ishii, un maître de karatéka et homme d’affaire japonais.

Les combats qu’on y voit ne sont pas sans rappeler ceux d’ano pankration de l’Antiquité. Cette variante du pankration (pancrace) était utilisée dans les tours préliminaires des grandes compétitions de pancrace. Il s’agissait d’une forme sans combat au sol : toutes la gamme des percussions et des projections était utilisée mais sans poursuite du combat au sol. Le pancrace complet était pour sa part appelé kato pankration et on l’utilisait dans les phases finales des tournois.

Combat en 3D

La redécouverte progressive des techniques « oubliées » ne se limita pas aux coups de pieds. Les trois dimensions du combat (frappes à distance, lutte au corps-à-corps, combat au sol) ressurgirent dans plusieurs disciplines. Du mélange sport de préhension et sport de percussion allait bientôt naître l’expression arts martiaux mixtes.

L’Union Soviétique développa son propre art martial mixte, le sambo, en combinant plus d’une vingtaine des luttes traditionnelles de son immense territoire. Dans la version sambo sportif, on trouve des projections et la lutte au sol (notamment les clés articulaires sur les jambes) et dans la version sambo combat, les frappes pieds-poings s’ajoutent à la panoplie.

En 1977, le ju-jitsu sportif fut structuré par quelques pays européens qui réunirent les atemi-waza (frappes), les nage-waza (projections) et les ne-waza (techniques au sol) qui étaient, à l’époque féodale, les trois parties indissociables des techniques à mains nues des samouraïs japonais.

Ces deux sports organisèrent leurs premiers championnats du monde, respectivement : en 1973 et 1994 puis furent admis aux Jeux Mondiaux en 1985 et 1997.

Mais ces deux exemples ne sont pas les seuls de l’engouement pour des arts martiaux de plus en plus complets, de plus en plus proches du combat réel à mains nues (à finalité militaire ou sportive). En voici d’autres, la liste n’étant bien sûr pas exhaustive.

Au Japon, la volonté de revenir à la (dure) réalité des sports de combat conduisit certains pratiquants de puroresu (catch) à quitter le système des matchs arrangés/chorégraphiés (appelés « work ») pour des oppositions réelles (appelées « shoot »). L’un de ceux à avoir le mieux réussi cette reconversion est Satoru Sayama, élève de Karl Gotch et Antonio Inoki, qui fonda le shooto en 1985 (sans doute inspiré par le célèbre combat du catcheur Inoki contre le boxeur Mohamed Ali en 1976). Sayama organisa son premier événement amateur en 1986, professionnel en 1989 puis le Vale Tudo Japan en 1994 (remporté par Rickson Gracie).

Le Français Régis Renault, pratiquant de vajra mushti indien, découvrit de nombreuses similitudes entre les arts martiaux du subcontinent et l’ancien pancrace des Grecs. Après une recherche historique, il codifia le paradosimos pankration (pancrace traditionnel) en 1990 et organisa les premières compétitions qui continuent de nos jours essentiellement au Portugal, sous la direction de son plus proche élève Francisco Policarpo.

Au début des années 1990, en France, Christian et Michèle Ribert, d'anciens pratiquants de shorinji kempo, créèrent la lutte contact (en synthétisant les gammes techniques des boxes pieds-poings et du judo) et organisèrent le Golden Trophy en 1994. André Panza (champion charismatique de boxe française et expert de judo) en fut le directeur technique national. Momentanément affiliée à la Fédération Française de Lutte, l’Union Française de Lutte Contact est désormais sous l’égide de la FFSCDA depuis 2009.

Explosion médiatique

La révolution ne viendra pourtant pas de tous ces styles complets déjà codifiés et peut-être trop académiques pour un public avide de sensations fortes. Elle sera l’effet secondaire d’une opération publicitaire destinée initialement à promouvoir les écoles de jiu-jitsu appartenant à la famille brésilienne Gracie.

Pour prouver l’efficacité des techniques au sol (ne-waza en japonais), les Gracie avaient l’habitude de défier d’autres écoles (karaté, capoeira, boxe, …) dans leur pays d’origine le Brésil. Désireux de faire fortune aux Etats-Unis, ils imaginèrent (avec l’aide du cinéaste John Milius, réalisateur de Conan le Barbare, et de l’homme d’affaire Art Davie) un nouveau type de compétition : l’Ultimate Fighting Championship. La première édition eut lieu en novembre 1993. Le principe est simple : une cage octogonale, des compétiteurs sortis de nulle part, avec des palmarès difficilement vérifiables, face à un représentant de la famille Gracie bien rodé à ce type de défi sans règle. Résultat : des oppositions de styles ultra-violentes et au beau milieu de tout cela, un magnifique combattant maîtrisant parfaitement le sol et obligeant tous ses adversaires à l’abandon sans avoir lui-même reçu la moindre égratignure. Stupeur dans le monde entier. Opération publicitaire réussie pour le jiu-jitsu brésilien. Mais aussi, indirectement, renaissance du concept de « pancrace » désormais appelé « arts martiaux mixtes » (mixed martial arts, ou MMA, en anglais).

Les Gracie désertèrent cette compétition deux ans plus tard et l’UFC faillit disparaître car, malgré l’enthousiasme du grand public, les politiques exigèrent que ces compétitions soient mieux encadrées, pour la santé des pratiquants, qu’elles respectent des catégories de poids, que les combats soient découpés en reprises de 5 minutes, etc. Après un détour de quelques années par le Japon (avec le Pride Fighting Championship), les arts martiaux mixtes revinrent aux Etats-Unis et détrônent aujourd’hui tous les autres sports sur les chaînes de télévision payantes.


Jérôme Sanchez

source : http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2011/11/lemergence-des-arts-martiaux-mixtes.html


L’émergence des "arts martiaux mixtes" dans le monde et à la Réunion (1/4) - par Jeronimo le 18/11/2011 @ 04:47

Rappel historique

L’Antiquité

Aussi loin que l’on remonte dans l’Histoire, les compétitions sportives ont toujours existé. Les Mésopotamiens organisaient des courses à pied et des épreuves de force en l’honneur de leurs dieux et de leurs héros il y a près de 5000 ans. Idem pour les Egyptiens qui nous laissèrent des planches techniques de lutte et d’un style de combat combinant bâton et coups de pieds datant de plus de 4000 ans.

Cependant, la compétition la plus prestigieuse resta la création des Grecs : les Jeux d’Olympie (ou Jeux Olympiques). Leur rénovation en 776 avant J.-C. servait même d’événement de référence à leur calendrier ; comme la naissance de Jésus-Christ dans le calendrier chrétien.

Trois sports de combat extrêmement populaires furent officiellement inscrits au programme olympique antique :
-         - l'orthopale (lutte débout) dès 708 avant J.-C.
--      - le pugilat avec cestes (boxe avec des lanières de cuir puis de bois clouté) dès 688 avant J.-C.
-         - et le pankration (pancrace) dès 648 avant J.-C.

Les Temps modernes et l’époque contemporaine

Lorsque le baron Pierre de Courbertin ressuscita les Jeux Olympiques en 1896, la lutte française dite « gréco-romaine » (en réalité une lutte traditionnelle provençale : « lucho de la ceinturo en aut ») fut inscrite directement au programme olympique. En 1908, la lutte libre anglo-américaine s’ajouta au programme ainsi que la boxe anglaise amateur.  

A partir de là, et pendant des décennies, le grand public occidental pensa que les seuls sports de combat existants étaient :
-         - la boxe avec les poings gantés
-         - et la lutte (avec ou sans veste) parfois assimilée à un spectacle chorégraphié (le « catch » pour les francophones, « pro wrestling » pour les anglophones).

Mais le souvenir même du pancrace grec avait totalement disparu chez les pratiquants de sports de combat.

Jérôme Sanchez
Source : http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2011/11/lemergence-du-mma-dans-le-monde-et-la.html

La croche s’accroche - par Jeronimo le 15/11/2011 @ 19:31

La mondialisation n’est pas qu’un phénomène économique. L’uniformisation culturelle, basée sur le système occidental, agit comme un rouleau compresseur sur les traditions locales. Mais ça et là, quelques poches de résistance subsistent et s’accrochent aux pratiques anciennes.


Sur l’île de la Réunion


Passée du statut de colonie française à celui de département d’outre-mer en 1946, l’île de la Réunion a évolué très rapidement de la « génération coco » à la « génération coca ». Le phénomène s’est même considérablement accéléré à partir de 1964/65 avec l’installation des premières télévisions sur l’île ; ouverture d’une fenêtre sur la France métropolitaine et son mode de vie.


Une des conséquences fut l’abandon des jeux et sports traditionnels au profit des disciplines structurées débarquées de la Métropole. On pourrait faire le même constat au niveau mondial puisque la quasi-totalité des 28 sports olympiques d’été sont des inventions anglaises ou françaises, alors que l’UNESCO recense plusieurs milliers de disciplines sportives toutes cultures confondues.


Récit d’une rencontre


Au début des années 2000, Jérôme Sanchez, un instituteur métropolitain (un « Zoreille » comme on dit à la Réunion) s’inscrit dans un club de lutte olympique, l’Académie La Croche, à Saint-Paul de la Réunion. Il sympathise avec le propriétaire des lieux, Patrick Blanca, un Créole d’une quarantaine d’années au parcours martial éclectique. Très bientôt, il lui demande d’où vient le nom « musical » de sa salle pourtant dédiée aux arts martiaux et sports de combat. Sourire aux lèvres, Patrick Blanca raconte que « la croche » est la forme de lutte qui a égayé son enfance. Il y jouait avec ses camarades, sur le sable en bord de mer ou sur l’herbe dans les jardins publics. Intrigué, le Métropolitain veut en savoir plus, notamment sur les différences entre cette lutte réunionnaise et celles qu’il pratique habituellement (lutte libre et lutte gréco-romaine).


« La différence, c’est que le combat ne s’arrêtait pas au sol. On continuait jusqu’à ce qu’un des deux dise «La paix ! » ou bien « Arrête ! » quand il était contrôlé par une prise douloureuse. »


Quelques démonstrations de techniques accompagnent le récit. Immédiatement, le Zoreille reconnaît des clés articulaires et des étranglements identiques à ceux enseignés en judo, ju-jitsu sportif ou jiu-jitsu brésilien (des disciplines qu’il a également pratiquées auparavant). La curiosité s’intensifie ! Il doit rencontrer d’autres anciens crocheurs.


Témoignages


Patrick Blanca, qui était le plus jeune du dernier groupe de crocheurs saint-paulois, réunit ses anciens camarades de jeu. Ces quadragénaires et quinquagénaires sont surpris de l’intérêt porté à leur jeu « longtemps » par quelqu’un issu de l’extérieur. Mais ils sont quand même rassurés par la présence de leur ami et chacun de révéler sa « spéciale », sa technique de projection favorite ou celle qui lui permettait d’obtenir la victoire une fois au sol.


Au fil des témoignages, il s’avère que tous les Créoles âgés d’au moins 50 ans ont pratiqué la croche dans leur jeunesse mais qu’aucun Réunionnais aujourd’hui en âge de pratiquer des sports de combat (c’est-à-dire autour de 20 ans) n’en connaît l’existence. Pire, après une recherche bibliographique, il apparaît qu’aucun ouvrage n’a été consacré à ce sujet. A peine une inscription dans un dictionnaire français/créole des années 1980 ! Si rien n’est entrepris, la croche aura très bientôt disparu, définitivement oubliée. La curiosité se transforme en passion.


Renaissance d’un sport traditionnel


Pendant trois années, les deux passionnés collectent des centaines de témoignages, identifient des dizaines de techniques et les classent en planches techniques. Grâce à des témoins âgés de plus de 90 ans, il est attesté que la croche était pratiquée au moins depuis la fin du XIXème siècle. Une carte postale de 1905 prouve en tout cas qu’elle l’était au tout début du XXème siècle.


A ce stade, la rencontre avec Frédéric Rubio est déterminante. Cet expert auprès de la FILA (Fédération Internationale des Luttes Associées) et de la CONFEJES (branche sportive de la Francophonie) a milité pendant plus de quinze ans pour la survie des luttes traditionnelles en Afrique. Jadis basé au Sénégal, il a synthétisé les différents styles de lutte africaine pour leur permettre de résister à la déferlante du football.


C’est Frédéric Rubio lui-même qui va analyser les techniques et les pratiques de la croche pour rédiger une règlementation respectant la tradition mais avec l’apport de la modernité (catégories de poids, durée des combats limitée, etc.). Elle est limpide : une projection vaut un point, une immobilisation un point, et la victoire peut s’obtenir avant la limite en cas de renoncement de l’adversaire ou d’arrêt de l’arbitre.


Un livre est publié en 2006 dans une maison d’édition locale, Azalées, avec une préface du président de la FILA lui-même : Raphaël Martinetti. C’est une reconnaissance institutionnelle mais il reste désormais le travail de terrain : former des cadres, ouvrir des clubs et organiser les premières rencontres sportives officielles (interclubs en 2007 et championnats régionaux en 2008).


Grandir pour ne pas mourir


Reconnue par la FILA comme lutte traditionnelle de la Réunion, la croche n’en reste pas moins au stade embryonnaire. Six clubs seulement sur l’île de la Réunion … et donc dans le monde. Elle reste très fragile. Pour en pas disparaître, elle doit s’exporter. C’est possible car ses règles sont très simples, accessibles au grand public, et parce qu’elle se situe à mi-chemin de la lutte olympique (saisies sur le corps et non sur les vêtements) et du judo (usage de toute la gamme technique au sol, les ne-waza).


Sa première rencontre internationale aura lieu le 22 janvier 2012, au Centre National de Lutte de Vacoas, île Maurice. Ce seront les 1ers Championnats de l’Océan Indien de Croche. Souhaitons à ce sport un avenir ensoleillé ! Parfois, il suffit d’un seul passionné au départ. Souvenons-nous d’un certain Jigoro Kano qui avait fait un rêve dans les années 1880, un rêve nommé judo.



Jérôme Sanchez

Concert humanitaire pour la Corne de l'Afrique - par Jeronimo le 15/11/2011 @ 15:50


Hymne de la croche - par Jeronimo le 12/11/2011 @ 17:27

Le vendredi 4 novembre 2011, le groupe Afatia a interpreté pour la première fois "l'Hymne de la croche" au complexe Jules Solesse de Bois de Nèfles Saint-Paul devant les crocheurs des clubs de Bois de Nèfles, Saint-Paul, l'Etang Saint-Paul et Plateau Caillou en présence des auteurs compositeurs :

- textes et musique : Christian Vittori (auteur chroniqueur) et Charles Emmanuel Manson (auteur compositeur).

- arrangement : Christian Subtil (professeur de musique).

 

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