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Le Ju-Jitsu contemporain de Mohand Mokrab (professeur à la Cour des Arts)
- par Jeronimo
le 17/12/2006 @ 05:49
HISTOIRE DU JU-JITSU Le ju jujitsu est né au Japon. Il a été créé puis transmis et enrichi à travers les siècles, par les samouraï. Ensuite, les ronin ont perpétué cet héritage et leur enseignement s'est alors ouvert à toutes les couches de la population. Le ju-jitsu est un art ancestral dont l'évolution se poursuit encore aujourd'hui... Des techniques de combat développées par les samouraï
L'histoire politique du Japon fût longtemps dominée par les rivalités opposant les différents uji (clans militaires). Cette situation favorisa l'émergence d'une caste guerrière, les samouraï. Ils formaient une noblesse mineure mais dont l'accès était rigoureusement fermé. Le rang de samouraï était en effet héréditaire. Tout fils de samouraï, à moins de s'exclure lui-même, embrassait la profession des armes. Dès l'époque Kamakura (1185-1333) qui correspond au début de l'ère féodale, le samouraï dédiait sa vie à son clan ou à son seigneur, sans rechercher d'avantages, de faveurs ou de contrepartie. C'est là une différence essentielle avec le chevalier européen qui nouait une relation d'ordre contractuel avec son suzerain, lui offrant certes son épée et sa fides (fidélité) mais en échange de sa protection. Pour le samouraï, l'idée du devoir et du sacrifice était encore plus solidement ancrée, le lien l'unissant à son seigneur étant d'origine divine. Sur le champ de bataille, revêtu d'une armure, le samouraï combattait à cheval et était le seul guerrier autorisé à manier le sabre (il portait le sabre long et le sabre court). Dans ses déplacements, il était accompagné par les chugen (domestiques) et les zoshiki (soldats de rang inférieur) qui le suivaient ou le précédaient, à pied. Etaient considérées comme indignes d'un samouraï, toutes les activités ne se rattachant pas directement à la pratique des armes. Une grande partie de leur temps était donc consacrée à l'art du combat. L'escrime du sabre, l'équitation, le tir à l'arc (l'équivalent japonais du mot chevalerie est kyuba no michi, littéralement "la voie du cheval et de l'arc") faisaient partie de leur entraînement. Au fil des ans, les armures étant devenues plus légères, les samouraï développèrent aussi des techniques de combats en corps à corps et à mains nues. Ainsi, un samouraï désarmé pouvait encore se défendre contre un adversaire muni de son sabre. Le Ju-jitsu, textuellement "l'art de la souplesse" était né. Les différents clans de samouraï mîrent au point des techniques secrètes, jalousement gardées. Les ronins "démocratisent" le ju-jitsu A l'époque d'Edo (1603-1768), le Japon se trouva en partie pacifié et le bakufu (gouvernement militaire) centralisa son pouvoir. Les bushi (guerriers) dûrent quitter les campagnes pour intégrer les villes fortifiées. Par la force des choses, les samouraï fûrent obligés de se reconvertir et devînrent des guerriers lettrés, leurs fonctions évoluant alors vers des tâches administratives. Mais beaucoup fûrent moins chanceux ou moins aptes à tenir ce nouveau rôle. Ruinés, ils adoptaient (en échange d'une somme d'argent) le fils d'un citadin, le faisant ainsi accéder au rang de samouraï. Certains devenaient même artisans. A cette époque, les samouraï représentaient moins d'un dixième de la population totale de l'archipel nippon. Leur situation était très variable. En haut de l'échelle, on trouvait le hatamoto, vassal direct du shogun (les shogun sont les dictateurs militaires qui, à partir du XII ème siècle et jusqu'au XIX ème siècle, gouvernèrent le Japon). Le hatamoto touchait des sommes importantes. Mais le simple ashigaru (grade le plus bas pour un samouraï) n'était qu'un des vassaux du hatamoto et devait se contenter d'une maigre pension. Dès le début du 17 ème siècle, les shogun Tokugawa abolirent ou réduirent considérablement les fiefs. En conséquence, les damyo (seigneur) ne pûrent conserver leurs armées. Un grand nombre de samouraï se retrouvèrent alors sans damyo à servir. Vers 1650, le Japon comptait quelques 500 000 ronin, nom donné à ces samouraï désormais sans attaches et sans maître. Ils étaient obligés de louer ponctuellement leur service, parcourant le Japon à la recherche d'un engagement. Pour survivre, nombre d'entre eux, ouvrirent des écoles et enseignèrent à leurs élèves la pratique des armes, la stratégie et les techniques de combats à mains nues. Les premières ryu (écoles) de ju-jitsu tenues par des samouraï mais ouvertes à tous, vîrent ainsi le jour. Elles se développèrent avec succès, au point que plus de 700 systèmes fûrent officiellement répertoriés, à la fin du 18 ème siècle. Mais ce n'est qu'à l'époque Meïji (1868-1912) que les diverses techniques fûrent codifiées, après que les samouraïs aient perdu le droit de porter le sabre et que les duels aient été définitivement interdits. Le Ju-jitsu est à l'origine des arts martiaux modernes Avant de fonder le judo, Maître Jigoro Kano (1860-1938) fût un pratiquant assidu de ju-jitsu (écoles tenjin-shinyo-ryu puis kito-ryu, seguchi-ryu, seigo-ryu...). C'est à partir des techniques de ju-jitsu qu'il élabora le judo. Même chose pour Maître Morihei Ueshiba (1883-1969) qui étudia également des styles de ju-jitsu (yagyu-shinkage-ryu, daito-ryu... ) avant de créer l'aikido. En France, les premières démonstrations de ju-jitsu eûrent lieu dans les années 1900. Mais la pratique du ju-jitsu demeura très confidentielle. En 1924, Keishichi Ishiguro effectua des démonstrations, à Paris. En 1933, ce fût au tour de Jigoro Kano et de Hidechi Nagaoka. Mais c'est Mikinosuke Kawaishi (arrivé en France, en 1935) qui popularisa vraiment le ju-jitsu. Il publia des ouvrages de judo ainsi qu'une méthode de self-défense. Jusqu'au début des années 50, les pratiques du judo et du ju-jitsu étaient étroitement liées dans les dojo (lieu d'entraînement). Mais avec l'essor pris par le judo, le ju-jitsu tomba en désuétude et de nombreuses techniques jugées dangereuses fûrent alors abandonnées. Ces dernières années, on assiste à un regain d'intérêt pour le ju-jitsu, en partie dû aux succès remportés par les combattants brésiliens lors des tournois de combats libres. Le terme de "ju-jitsu brésilien" est cependant impropre car toutes les techniques employées (atemis, projections, luxations, étranglements, etc. ) sont directement issues des méthodes de ju-jitsu japonais, la seule originalité des ju-jitsuka brésiliens étant de mettre l'accent sur les phases de combat au sol. Au 19 ème siècle, les pays d'Amérique du Sud et principalement le Brésil, connûrent des vagues d'immigration japonaise. Ce sont à n'en pas douter, certains de ces immigrés nippons qui importèrent les techniques de ju-jitsu. Mais au Brésil, à la différence de l'Europe et des Etats-Unis, la pratique du ju-jitsu continua à se développer et ce, parallèlement à l'essor des nouveaux arts martiaux japonais (judo, aikido, karaté). C'est là sans doute, l'une des raisons de la valeur actuelle des combattants brésiliens. EXPLICATION DE LA METHODE Le Ju-jitsu contemporain Le ju-jitsu contemporain est directement inspiré du ju-jitsu japonais. Il a été conçu et réactualisé par Mohand Mokrab, professeur de ju-jitsu diplômé d'état. La méthode a été enrichie sur le plan technique et pédagogique afin d'améliorer le côté réaliste du ju-jitsu. Cet art martial comprend donc des techniques de boxe pieds-poings, de lutte, de sambo, de karaté, de judo, d'aikido. Cette synthèse permet ainsi d'aborder avec beaucoup de réalisme le combat à distance, en corps à corps et au sol. Elle met en relation les techniques modernes de défense avec les techniques plus anciennes. Cet art martial prend aussi en compte tous les types d'agressions de rue (avec ou sans armes), tout en respectant les aspects éducatifs du ju-jitsu. La pratique de cet art martial se déroule dans une salle appelée dojo. Les pratiquants portent une tenue blanche et une ceinture que l'on désigne sous le nom de ju-jitsu gi. Outre les aspects purement techniques, d'autres considérations sont prises en compte par l'enseignement. Ainsi durant les entrainements, toutes les facettes du ju-jitsu se trouvent étroitement liées, à savoir : - l'efficacité - le réalisme - la souplesse - l'endurance - la résistance - la psychologie. Cet art martial est toujours régi par les principes et la philosophie du Budo. Il ne s'agit donc pas d'un simple sport de combat. Pendant les entrainements, le code de conduite et les valeurs du budo sont donc respectés à la lettre. L'esprit du ju-jitsu contemporain est en effet basé sur les principes d'auto-défense et en aucun cas, ne saurait encourager l'agression d'autrui. Chaque pratiquant est initié à ces principes. Lors de l'entrainement, l'âge, la condition physique et les motivations du pratiquant sont pris en considération. Chacun peut donc se prémunir contre les attaques extérieures et pratiquer cet art martial complet et efficace tout en cultivant les valeurs spirituelles qui s'y rattachent. Le ju-jitsu contemporain est un art martial qui forge le corps et l'esprit, vise au bien être du pratiquant tout en mettant l'accent sur les principes de persévérance, de courtoisie et de tolérance.
La Cour des Arts invite
- par Jeronimo
le 17/12/2006 @ 05:45 Finir le trimestre sur une note inhabituelle, se faire connaître, échanger avec les autres clubs de la ville, mais également avec des combattants issus d’autres écoles (boxe, karaté, lutte, ju-jitsu brésilien...) tel est l’esprit qui anime le directeur technique de la Cour des Arts (8 rue du Pont à Saint-Denis).
Ce soir (vendredi 15 décembre2006) entre 18 h 30 et 20 heures, Mohand Mokrab et ses élèves accueilleront toux ceux qui le souhaitent pour une séance de travail placée sous le signe de l’amitié. Depuis maintenant un an à la Cour des Arts, il enseigne le judo, la boxe pied-poings, le combat libre la self-défense et le ju-jitsu contemporain. Issu du ju-jitsu traditionnel et des pratiques citées en amont, le ju-jitsu contemporain est une synthèse de combat plus en prise avec la réalité, complète et accessible à tous. “Tous ceux qui le souhaitent seront les bienvenus ce soir. La porte est grande ouverte. Il suffit seulement qu’ils soient animés d’un esprit de saine émulation,” conclut celui qui porte un grand respect au code moral du judo, une école à laquelle, il le dit lui-même, il doit beaucoup.
http://www.clicanoo.com/article.php3?id_article=145589
Une idée de cadeau pour les fêtes de Noël
- par Jeronimo
le 14/12/2006 @ 17:10
Boxe (poids lourds) : Maskaev conserve son titre
- par Jeronimo
le 13/12/2006 @ 08:57 Le Russe d'origine kazakhe Oleg Maskaev (37 ans ; 34 victoires, dont 26 avant la limite, 5 revers) a conservé son sceptre des lourds WBC en surclassant aux points, à l’unanimité des juges (120-107, 120-107 et 118-109), l'Ougandais qui vit au Japon Peter Okhello (34 ans ; 18 succès, dont 16 expéditifs, 5 revers), dimanche à l’Olympisky Sports Arena de Moscou. Le tenant s'est emparé de la ceinture WBC le 12 août dernier par arrêt de l’arbitre dans la douzième et dernière reprise devant l’Américain Hasim Rahman.
 Le champion prend l’initiative dès l’entame du match. Mascaev doit cependant attendre la fin du huitième round pour que sa droite perce la garde hermétique de Peter Okhello et face quelques dégâts. Dans la dixième reprise, le tenant du titre, toujours avec sa droite qu’il donne en direct, envoie le challengeur dans les cordes. L’arbitre compte le pugiliste ougandais, qui ne semble pas gravement touché. Okhello se remet d’ailleurs très vite de cette péripétie et termine le match debout, sur ses deux jambes. La veille d’étrenner son titre de la catégorie reine WBC lors du premier combat mondial organisé dans son pays d'adoption, le président Vladimir Poutine a offert la nationalité russe à Maskaev. Né au Kazakhstan quand ce pays faisait partie de l'Union soviétique, le champion a vécu plus de dix ans aux États-Unis et possède la nationalité américaine. La Russie accepte la double nationalité. Egalement à l’affiche, le Russe invaincu Alexander Povetkin (27 ans ; 10 victoires, dont 8 avant la limite), champion Olympique chez les super-lourds en 2004, a mis knock-out au troisième round, après l’avoir mis knock-down dans la reprise précédente, l’Américain Imamu Mayfield (34 ans ; 25 succès, dont 18 expéditifs, 8 défaites, 2 nuls), un ex-champion des poids lourds-légers IBF. 11/12/06 - Moscou, Russie.
Formation
- par Jeronimo
le 10/12/2006 @ 05:28 FORMATION "LA CROCHE" du 10 décembre 2006 PRESENTATION GENERALE HISTORIQUE D'après les témoignages recueillis, "la croche" était pratiquée à la Réunion depuis au moins le XIXème siècle. En effet, nos plus anciens témoins vivants, "crocheurs" des années 1920, nous ont dit que leurs pères et leurs grand-pères en faisaient avant eux. RECONNAISSANCE "La Croche" a été reconnue comme "lutte traditionnelle" par le Comité Régional de Lutte de la Réunion en juin 2005. Elle a été présentée au niveau national, après la sortie du livre en avril 2006, lors de l'assemblée générale de la Fédération Française, par René Mardaye. Le livre qui sert de support a été applaudi. Sa préface est d'ailleurs signée par Raphaël Martinetti, président de la FILA. Ce livre "la croche - lutte traditionnelle réunionnaise" a d'ailleurs été commandé par 7 ou 8 comité régionaux et par une personne déterminante : Daniel Robin (double médaillé olympique, champion du monde de lutte, responsable communication et des luttes traditionnelles au niveau mondial, de la FILA). LA CROCHE, C'EST QUOI ? Debout, c'est de la Lutte Libre puisqu'on retrouve les cinq formes de corps (décalages, passages dessous, hanchés, arrachés, souplesses) et l'autorisation de saisir les jambes. Mais en plus, on autorise deux formes de corps dites "de sacrifice" pour amener l'autre à terre : les ciseaux et les extensions arrières. Au sol, c'est 50% de Lutte Libre (avec des immobilisations, des renversements, etc) et 50% de techniques complémentaires, autorisant les clés articulaires et les étranglements. FORMATION « LA CROCHE » Pour se résumer, 75% des techniques étant identiques entre Lutte Libre et Croche, la formation s'appuiera sur ce tronc commun. Il suffira ensuite d'apporter les 25% de spécifiques: - les deux autres formes de corps pour le travail debout - le complément du travail au sol : déplacements, postures, clés et étranglements. SPECIFIQUE DEBOUT Amener l'autre au sol en ayant son propre dos qui touche le sol serait donner des points à son adversaire en Lutte Libre. En Croche, ce sera autorisé, considéré comme un amener "en sacrifice" et ne coûtera ni ne rapportera de point. * Amener au sol en ciseaux à partir de contrôles : - bras extérieur - bras-tête (de dos ou de profil) - en attaque d'une jambe par roulade avant - etc. * Amener au sol en extension arrière à partir d'un contrôle - bras-tête (de face) en ceinturant l'autre avec ses jambes - ou avec pied sur le bassin ("planchette japonaise") - etc SPECIFIQUE SOL * Travail sur la mobilité : l'enchaînement de plusieurs immobilisations ("le circuit") Rappel de la règle pour le comptage des points : une immobilisation tenue 3 secondes rapporte 1 point. Au bout de 10s, on doit changer d'immobilisation ou tenter une clé. * Tenue dans les ciseaux fermés (la fourche des jambes) : 10s pour tenter une clé, suite à quoi l'arbitre dit "largue" et il faut ouvrir les ciseaux. Sinon, il fait remettre debout. * Distinction entre une immobilisation (généralement 3 points d'appui : un de fixation et deux pour empêcher la mobilité de l'autre) et une position de contrôle (une simple fixation), exemple : à cheval, dans le dos avec jambes crochetées (liane), genou en fixation sur la poitrine, etc. * Etc ... IMPORTANT Penser au grand public. Pour séduire des profanes, il faut que : - les règles soient faciles à comprendre (le comptage des points notamment) - et que les actions spectaculaires soient favorisées (projections de grande amplitude: 2 points; en cas d'inaction au sol : remise debout, etc...).
Lutte à la Réunion : programme du Tournoi de Noël
- par Bernard Sabatier le 09/12/2006 @ 08:26 COMITE REGIONAL DE LUTTE DE LA REUNION Tournoi de Noël SAMEDI 16 DECEMBRE 2006 GYMNASE DE L’ETANG-SALE Madame, Monsieur le responsable du club Vous trouverez ci-joint, le programme et les horaires relatifs à la journée du 16 décembre. Comme vous pouvez le constater, il n’y aura pas de rencontres ni pour les poussins, ni pour les benjamins afin de revenir sur le projet initial consacré aux minimes et cadets. Toutefois, en cette année de préparation aux Jeux des Iles, nous proposerons des combats aux juniors/seniors. Afin d’organiser au mieux cette rencontre, nous vous serions très reconnaissant de nous indiquer le plus rapidement possible, le nombre de lutteurs, d’accompagnateurs puis, celui des personnes désirant rester au repas du soir. Il sera demandé 3€ par personne pour ce repas. C’est le club qui gérera le nombre et la récolte des fonds, fonds qui seront à verser directement à François Boucher. Pour votre information, vous pourrez acheter sandwiches et boissons à la buvette, à midi et tout au long de l’après-midi. Un effort particulier sera fait au niveau du respect des horaires, il est donc demandé à tous de bien les respecter. Les lutteurs devront se présenter à la pesée avec leur licence ou à défaut leur pièce d’identité et une attestation de leur président de club prouvant qu’ils sont bien licenciés. Veuillez compléter le tableau suivant et me le retourner le plus vite possible par mail (SABATIERB@wanadoo.fr) ou par fax (0262 26 61 81). Nom du club | Nom des Lutteurs | Catégorie d’Age | Catégorie de poids | Nbre d’accompagn. | Nbre de repas le soir | | | | | | |
Merci beaucoup de votre collaboration Bernard Sabatier COMITE REGIONAL DE LUTTE DE LA REUNION Tournoi de Noël SAMEDI 16 DECEMBRE 2006 GYMNASE DE L’ETANG-SALE PROGRAMME HORAIRE | ACTION | RESPONSABLE | 11H - 12H | Pesée des Minimes | Sandrine Bellot | 12H- 12H30 | Secrétariat Minimes | Patrick Helmer | 11 H - 12H | Pesée des Cadets | Géraldine Lépinay | 12H-12H30 | Secrétariat Cadets | Bernard Sabatier | 13 H - 13H30 | Pesée des Juniors-Seniors | J.Pascal Henrion | 13H30-14H | Secrétariat Juniors-Seniors | Bernard Sabatier | | 13H -15H | Tournoi éliminatoire des Minimes/Cadets | Patrick Helmer / Bernard Sabatier | 15H-16H30 | Tournoi éliminatoire des Juniors-Seniors | Bernard Sabatier | | 16H30-17H | Arbre de Noël | | | 17H-17H30 | Présentation des Finalistes | Bernard Sabatier | | 17H30 – 18H30 | Finales pour les Minimes (deux surfaces) | Bernard Sabatier | 18H30 -20H | Finales pour les Juniors-Seniors (une surface)Finales pour les Cadets (une surface) | Bernard Sabatier | | 20 H - 20H30 | Remise des Récompenses Min/Cad/Jun-Sen | | | 20 H 30 | Repas Buffet sur réservation | |
Président : Eric Oméraly Directeur de la compétition : Bernard Sabatier Responsable des pesées :J.Pascal Henrion Responsable du secrétariat technique : Patrick Helmer Responsable de l’Arbitrage : Mickaël Morel/Jean-Yann Dereu Accueil :Dominicaine Olympique Club Buvette : Dominicaine Olympique Club Responsable remise des récompenses et Arbre de Noël : Dominicaine Olympique Club Responsable du repas : Dominicaine Olympique Club Relation avec la presse : Patrick Helmer Responsable du site et de l’animation: François Boucher Responsable de la sécurité:Dominicaine Olympique Club
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| Ils soutiennent La Croche | |
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Meilleur combattant |
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A l'approche des Jeux Olympiques 2024 à Paris où lutte, escrime,
boxe, judo et taekwondo seront représentés ... et pour répondre à
l'éternelle question que se posent les fans de sports de combat et
d'arts martiaux, "Qui est le meilleur combattant de tous les temps ?",
ce livre étudie toutes les périodes historiques, de l'Antiquité jusqu'à
nos jours, toutes les grandes compétitions, tous les sports de combat
majeurs sans armes (sports de préhension, sports de percussion, arts
martiaux mixtes) et avec armes, et donne enfin les classements. Ce
livre de 800 pages (en e-book ou en 2 tomes) est le résultat de
décennies de collecte d'informations et de recherches
historiques.
Lien
pour se procurer la version numérique e-book (année 2024, 800 pages, 7,99
€ )
Ou les deux tomes en papier, couvertures rigides :
- Tome
1 (année 2024, 461 pages, 33,99€ )
- Tome
2 (année 2024, 348 pages, 28,98 € )

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